• Projets de Technopolice à l'échelle nationale

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    Février 2025 - NGE Connect, filiale du groupe de BTP NGE, achète la société AVI. https://nge-connect.fr/ Smart city : la filiale numérique de NGE s'attaque au marché francilien NGE connect, filiale du groupe de BTP, spécialisée dans la vidéosurveillance et les dispositifs de smart city, s'implante dans le Val-d'Oise avec l'acquisition d'AVI. L'entreprise veut répondre à la demande croissante des entreprises et des collectivités franciliennes. Installer des caméras détectrices de mouvement, contrôler la consommation d'électricité d'un bâtiment, surveiller les crues des cours d'eau… de plus en plus d'entreprises et de collectivités veulent s'équiper des outils numériques de la smart city. En Île-de-France, NGE connect, filiale numérique de NGE Energies solutions - appartenant au géant du BTP - annonce l'acquisition de la petite entreprise AVI, basée à Herblay-sur-Seine (Val-d'Oise) pour gagner de nouvelles parts de marché. Créée il y a seulement cinq ans, l'entreprise aux 50 salariés et au chiffre d'affaires de 7,5 millions d'euros, cherchait à étendre son réseau en Île-de-France grâce à son offre en matière de sûreté et d'objets connectés pour optimiser l'éclairage ou la consommation d'eau. « On commençait à se développer en région parisienne et nous avions besoin d'un ancrage local. Nous avons choisi le Val-d'Oise car c'est un département précurseur dans l'utilisation des dispositifs numériques », indique Charles-Henri Gianina, le directeur de NGE connect. Equiper les bâtiments publics et privés En jetant son dévolu sur AVI, petite entreprise de moins de 10 salariés au chiffre d'affaires de 2,2 millions d'euros, NGE connect entend s'appuyer sur l'expertise de l'entreprise, qui assure déjà la surveillance de centres commerciaux Weslfieldt et d'hôpitaux en Île-de-France. L'objectif est ainsi d'apporter à AVI le savoir-faire de NGE en matière digitale pour proposer aux clients la surveillance des abords de leurs bâtiments et la configuration de leurs systèmes de chauffage ou d'éclairage à distance. « La sûreté et le contrôle digital de la consommation d'énergie sont les deux grandes priorités des territoires », estime Charles-Henri Gianina. Dans les prochaines années, le domaine de sûreté sera le plus investi par l'entreprise et représentera les deux tiers de son activité, contre la moitié aujourd'hui. « Le potentiel d'installation de caméras et de paramétrages sur les équipements publics et privés est très important », souligne le dirigeant. Déménagement Avec ce changement de dimension, l'entreprise doit tripler son chiffre d'affaires d'ici cinq ans. Une dizaine de personnes doivent être recrutées dans les mois à venir. Pour accompagner sa croissance, l'entreprise compte déménager d'ici la fin de l'année pour gagner en surface de bureau et de stockage. NGE connect compte bien rester dans le Val-d'Oise et regarde du côté d'Herblay-sur-Seine et d'Eragny. Avec cette acquisition, NGE connect poursuit sa stratégie de croissance via le rachat d'entreprises. En effet, elle s'est créée en rachetant une première société en Normandie, S2F Network, avant de poursuivre son maillage dans le Sud-Est et dans le Grand Est. Présente uniquement en France, l'entreprise pourrait à terme proposer ses services à l'étranger. Hugo Robert https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/smart-city-la-filiale-numerique-de-nge-sattaque-au-marche-francilien-2148204
  • Projets de Technopolice en Belgique

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    @vucod merci beaucoup !! :)
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  • 25 Sujets
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    gkoG
    Salut ! Petit message pour vous annoncer qu'un groupe Technopolice Grenoble/Isère existe ! Le groupe est très récent (on est trois ^^) et en pleine structuration. Pour le moment, l'essentiel de notre travail consiste à réfléchir sur comment le groupe pourrait répondre au mieux aux enjeux locaux et à tisser des liens avec les orgas locales. On n'a pas encore la capacité à organiser des choses, mais on espère y arriver très vite ! Vous pouvez nous contacter ici ou par mail (technopolice38@riseup.net). À bientôt !
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    @alouette Merci!!
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    N
    Et les caméras ont été installées ! Cet article du Figaro (pardon) nous dit que 80 nouvelles caméras de vidéosurveillance vont compléter le parc déjà opérationnel de 250 appareils et que de nouvelles installations devraient suivre «d’ici la fin du mandat», en 2026.
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    Bonjour, En vue des prochaines élections municipales (2026) , je propose la création d'un collectif afin de réfléchir à des actions d'information et lutte contre la vidéo-surveillance à Tours et dans les villes de la métropole. Si vous êtes intéressé.e TSS37@proton.me
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    Un mail reçu sur la boite contact de La Quadrature, je le mets ici pour info/archives : B‌onjour, Je réside à Ouistreham où un projet absurde de vidéosurveillance est en train d'être mis en place par un délinquant (un maire plusieurs fois condamné par la justice!)...C'est l'illustration parfaite de l'absence totale de contrôle sur les personnes (beaucoup de maires pour des raisons politiques) qui mettent en place ce système et ont accès aux images...Localement presque tout le monde est dans le déni...Voici le corps du texte que j'ai envoyé au préfet, à des sénateurs, des députés...Sans réponses... Suite à un article paru dans la presse: http://actu.fr/normandie/ouistreham_14488/videoprotection-a-ouistreham-les-90-cameras-bientot-en-service_56596721.html‌ "Résidant à Ouistreham je suis stupéfait de constater comme de nombreux habitants que la mise en place d'un centre de supervision urbain très élaboré avec 90 caméras puisse être porté par un délinquant...En effet cet individu (Monsieur Bail le maire de Ouistreham) a été condamné pour faux et usage de faux (5000 euros d'amende) le 27 janvier 2020 et pour atteinte arbitraire à la liberté individuelle par dépositaire de l'autorité public (6 mois de prison avec sursis) le 2 juillet 2019. Nous rappellerons également l'invalidation de ses comptes de campagne en 2014 par le tribunal administratif ainsi que sa convocation au tribunal de police le 17 juin 2020, accusé d'avoir déclaré devant un officier de police judiciaire : « tout cela c'est de la faute des negros, nous sommes dans un pays de merde , il ne faut pas être surpris de la montée du front national » Jugé pour « diffamation non public en raison de l'origine », la juge soulignera la prescription des faits il ne sera pas condamné... Faut-il rappeler encore que Romain Bail avait demandé, récupéré et utilisé en 2014 le fichier adhérents (noms et adresses) de la plus grosse association de la ville (300 adhérents), ce qui est contraire à un arrêt du conseil d'Etat daté du 23/03/1997... Un maire ne peut demander ni utiliser une liste nominative d'adhérents d'association (cf. CNIL) ! C'est un des principes fondamentaux de nos libertés. Il est aberrant que rien n'ai été prévu dans la loi pour interdire l'accès à un tel système de surveillance de la population à un élu certes mais qui a également le statut de délinquant.. Questionnés sur le sujet la police et la gendarmerie sont très mal à l'aise et et tentent de minimiser l'absurdité (et la dangerosité!) de la situation. La nature des condamnations et les peines prononcées devraient de facto lui interdire l'accès à cet outil de surveillance très élaboré et en constante évolution. Le préfet semble faire la sourde oreille (deux courriers sans réponses) et dans les deux communes limitrophes où des caméras vont être installés les habitants semblent peu informés de l'installation de caméras à travers un système centralisé à Ouistreham ainsi que des risques liés à un accès incontrôlé aux informations liés à la surveillance de la population par un individu défavorablement connu de la justice. Ne faudrait-il pas rapidement faire évoluer la loi et la mettre à jour au regard des évolutions technologiques très rapides du secteur (les JO de 2024 accélèrent le processus notamment avec la reconnaissance faciale) qui comme nous le voyons à travers cet exemple concret peut être mis en place par des personnes qui ont eu maille à partir avec la justice? Un vide juridique inquiétant et évident qui tend malheureusement à discréditer l'image des forces de l'ordre en associant leur action à celle d'un délinquant. " Si cet exemple par l'absurde peut aider à argumenter une opposition à l'évolution inquiétante de la mise sous surveillance de la population sans aucun garde fou n'hésitez pas à me contacter je cherche localement à faire émerger le débat pour le remonter ensuite plus haut.
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    @kanopai Pour compléter comment la presse a traité le sujet, cet article du 1er février 2023. Arnaud Robinet s'explique sur l'utilisation de l'intelligence artificielle Alors que Thales s'est servi des caméras de la ville pour expérimenter un logiciel, le maire de Reims s'est justifié lors du conseil municipal qui s'est tenu lundi afin de tenter d'éteindre une polémique naissante. Arnaud Robinet lors du dernier conseil municipal qui s'est tenu lundi 31 janvier. Arnaud Robinet lors du dernier conseil municipal qui s'est tenu lundi 31 janvier. (© Capture video reims.fr) L'info a été dévoilée par le site d'informations Street Press, le 20 janvier dernier. La ville de Reims a servi de test à Savari, un logiciel mis au point par Thales, associant vidéosurveillance et intelligence artificielle. Via les caméras, Savari utilise des algorithmes vidéo intelligents pour, comme l'explique le groupe d'électronique français spécialisé dans la défense et la sécurité, dans un article « sponsorisé » à lire sur le site salondesmaires.com, « surveiller, superviser et analyser automatiquement les situations (regroupement, intrusion…), mais aussi détecter, identifier et classifier les formes et les objets (arme, vélo…) ». Le sujet publié par Street Press, média qualifié de « blog d'extrême gauche » par Arnaud Robinet, fait donc état du test à Reims, rappelant d'ailleurs qu'il avait été évoqué dès novembre 2021 en conseil municipal par l'élu d'opposition Europe-Écologie-Les-Verts, Léo Tyburce. A l'époque, l'adjoint à la sécurité Xavier Albertini, qui n'était pas encore député, avait alors confirmé le souhait de Reims « de mettre en place une étude et le développement avec une entreprise nationale d’un logiciel qui n’est pas de la reconnaissance faciale (…), mais c’est une capacité de reconnaître un certain nombre d’éléments et en particulier, dans la limite de la réglementation, de reconnaître n’importe quel véhicule qui se trouve pris par le champ des caméras ». « Ce logiciel n'a jamais servi à surveiller en direct la voie publique » Au final, rien d'illégal sur le fond, même si le logiciel en question est capable de reconnaître bien d'autres choses que des véhicules. Néanmoins, la sortie de Street Press a donc fortement contrarié le maire de Reims dénonçant, « un post ouvertement hostile à la vidéoprotection avec une prétendue atteinte aux libertés publiques dans un style outrancier et mensonger ». Si Arnaud Robinet a confirmé le test de Savari avec Thales, « autorisé par le procureur de la République », il a tenu à préciser dans quel cadre celui-ci s'est effectué : « Il s'agissait simplement de faciliter la relecture des vidéos dans le cadre très strict des réquisitions judiciaires, c'est-à-dire quand la vidéoprotection peut aider à résoudre une affaire (...) L'objectif étant d'optimiser le travail des enquêteurs ». En 2022, la ville de Reims a recensé plus de 1 600 réquisitions d'images par la police. Savari aurait ainsi permis de « gagner du temps dans l'élucidation des enquêtes au bénéfice des victimes ». Au final, pour Arnaud Robinet, pointer du doigt la vidéosurveillance et le logiciel de Thales est « un combat d'arrière-garde. Je ne connais pas un membre de cette assemblée qui ne se félicitera pas qu'on puisse rapidement identifier l'agresseur d'un de ses proches ». Arnaud Robinet a également précisé que « l'expérimentation n'aura malheureusement durée que quelques semaines, car Thales a décidé l'arrêt du logiciel qui ne sera finalement pas mis en production », ajoutant « être toujours à la recherche d'une telle solution technologique ». Et le maire de conclure : « contrairement à ce qui a été évoqué de manière fausse, ce logiciel n'a jamais servi à surveiller en direct la voie publique (...) Le cadre législatif actuel ne permet pas d'utiliser le système de capacité augmenté de l'intelligence artificielle ». Julien Debant https://www.lhebdoduvendredi.com/article/45284/arnaud-robinet-sexplique-sur-lutilisation-de-lintelligence-artificielle