TECHNOPOLICE
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    Rennes

    Planifier Épinglé Verrouillé Déplacé Bretagne
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    • D Hors-ligne
      denic
      dernière édition par

      @XavCC
      Bonjour,
      1° J'ai les mêmes préventions sur les conclusions de Laurent Mucchielli que nous avons rencontré à Saint-Chamond (42) en juin, dont les conclusions sont que les systèmes de vidéosurveillance sont surtout inutiles

      • d'une part ils vont devenir économiquement rentables pour les villes avec la vidéoverbalisation (ce qu'il ne niait pas)
      • d'autre part les données qui en sont issues (notamment grâce à la reconnaissance faciale) peuvent désormais intégrées dans des bases de données locales ou rapprochées de bases de données étatiques (e fichier TES par exemple).

      Sur ce dernier point un exemple concret à Saint-Etienne :

      • en travaillant sur Serenicity (jusqu'à son arrêt !) on a pu constaté que, sur le même quartier populaire de Tarentaize-Beaubrun, était testé une plateforme, "Digital Saint-Etienne", qui fusionnait toutes les bases de données publiques (de la ville, de la métropole et des délégataires de services publics) ainsi que celles issues des réseaux sociaux ... de la vidéosurveillance et, sans nul doute, des micros envisagés. Les villes n'ont pas les moyens d'un tel travail, et/ou seraient obligées à une transparence sur la collecte de données. On confie donc ça à des sociétés privées, Suez en l’occurrence.
        Mais, comme l'ensemble du projet concernant ce quartier, le financement public, par l'ANRU, ne manque pas...
      • pour nous c'est un chantier à venir.

      Autre chantier, Google.
      Nous avons, comme Rennes, Montpellier et Nancy, un atelier numérique.
      A Rennes vous avez lancé la plateforme NoGoogle, mais on aimerait en savoir plus sur votre fonctionnement, vos actions.
      Par ailleurs, avez-vous des contacts avec Montpellier (où une structure publique de formation a été démantelée au profit de Google) et Nancy ?
      Des échanges, actions coordonnées pourraient être plus efficaces, non ?

      felixF 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
      • X Hors-ligne
        XavCC
        dernière édition par

        Bonjour @denic

        je pense très sincèrement qu'une discussion de vive voix est un impératif à tout cela.
        Et vous ? Je ne voudrais l'imposer, malgré mon idée de départ.

        des retours d'expériences et d'ébandons : oui
        des contacts : oui
        des liens ensemble : oui
        des leaks : oui

        Essayons d'en blablater ? Par voix ??

        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
        • D Hors-ligne
          denic
          dernière édition par

          Ce message a été supprimé !
          D 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
          • D Hors-ligne
            denic @denic
            dernière édition par

            Ce message a été supprimé !
            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
            • felixF Hors-ligne
              felix @denic
              dernière édition par

              @denic a dit dans Rennes :

              en travaillant sur Serenicity (jusqu'à son arrêt !) on a pu constaté que, sur le même quartier populaire de Tarentaize-Beaubrun, était testé une plateforme, "Digital Saint-Etienne", qui fusionnait toutes les bases de données publiques (de la ville, de la métropole et des délégataires de services publics) ainsi que celles issues des réseaux sociaux ... de la vidéosurveillance et, sans nul doute, des micros envisagés. Les villes n'ont pas les moyens d'un tel travail, et/ou seraient obligées à une transparence sur la collecte de données. On confie donc ça à des sociétés privées, Suez en l’occurrence.

              Tu aurais plus d'infos sur ce croisement de données, et notamment celles issues des réseaux sociaux ?

              D 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
              • D Hors-ligne
                denic @felix
                dernière édition par

                @felix
                Bonjour,
                Pour le moment on a divers dépliants, un site de Suez et des documents qui ont fait l'objet de votes en conseil municipal ou de métropole, tous rédigés dans un style lénifiant qui ne décrit pas précisément les traitements effectués.
                Pour aller plus loin il faudrait se lancer dans une procédure CADA comme vous avez fait pour Serenicity.
                Ci-joint dépliant de Suez DigitalStEtiennedivd_st_etienne.pdf et communiqué commun CP-SUEZ-lancement-du-projet-digital-Saint-Etienne-2018-03-26-FR.pdf

                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                • S Hors-ligne
                  Selim
                  dernière édition par

                  Aussi à ajouter au pad pour mettre ça dans data.technopolice.fr

                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                  • R Hors-ligne
                    Rachl.dlp @Marne
                    dernière édition par

                    @Marne
                    Bonjour
                    Avez vous eu des retours de ces demandes CADA relatives aux utilisations de drone sur Rennes ?

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                    • MarneM Hors-ligne
                      Marne
                      dernière édition par

                      Salut @Rachl-dlp
                      Je n'ai pas eu de réponse de la préfecture et j'ai eu cette réponse de la mairie de Rennes :

                      Madame,

                      Ce 23 octobre vous avez sollicité la Ville de Rennes pour l'obtention de divers documents relatifs à l'utilisation de drone pour la surveillance au sein du "centre de rétention administratif de Rennes".

                      Je suis cependant au regret de vous indiquer que la Ville de Rennes ne détient aucun document concernant la surveillance que vous évoquez.

                      D'une part, les collectivités territoriales n'ont pas de compétence pour autoriser les vols de drone, et n'ont même pas à en être informées. Tant le régime propre aux autorisations de vols de drones sur certaines zones, que celui relatif à l'éventuelle captation d'images relèvent en effet exclusivement de la compétence des services préfectoraux. En tout état de cause, la situation concernée par votre demande pourrait relever du régime dérogatoire prévu par l'article 10 de l'arrêté du 10 décembre 2015 applicables à certaines opérations de police, régime qui là également ne prévoit pas d'intervention des communes.

                      D'autre part, je vous informe que le "centre de rétention administratif de Rennes" est improprement nommé car il ne se situe pas sur le territoire rennais, mais sur celui de Saint-Jacques de la Lande, commune voisine et limitrophe de Rennes.

                      Conformément à l'article 20 de la loi du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations, je vous informe que nous transmettons votre demande à Madame la Préfète d'Ille-et-Vilaine, qui nous semble être l'autorité compétente pour y apporter une réponse.

                      Cordialement,

                      Bertrand BIGAUD

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                      • R Hors-ligne
                        Rachl.dlp
                        dernière édition par

                        @Marne Je vous remercie pour votre réponse, j'ai fait des demandes CADA aussi, je vous tiendrai au courant des réponses que j'aurai

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                        • X Hors-ligne
                          XavCC
                          dernière édition par

                          Bonjour à vous,

                          lors de la manifestation du 5 décembre 2019,
                          un drone a été utilisé place de Bretagne à Rennes. Entre 12h et 14h30.

                          Je n'ai pour l'instant que très peu d'information :

                          • mon observation
                          • quelques témoignages dificiles à recueillir
                          • deux photos avec peu de détails https://twitter.com/emmanbrossier/status/1202583747222224896

                          Avant de lancer un nouvelle demande CADA, je cherhce donc de nouvelles infos.
                          Si vou en avez ou si vous avez dans vos connaissances des personnes qui pourraient en avoir.

                          @denic je présente mes excuses pour les semaines de silence.

                          Un café peu s'envisager à Rennes ?

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                          • AlouetteA Hors-ligne
                            Alouette
                            dernière édition par

                            @Marne tu as eu des réponses de la demande Cada transmise à la préfecture ? Et toi @Rachl-dlp ?

                            MarneM 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                            • MarneM Hors-ligne
                              Marne @Alouette
                              dernière édition par

                              @Alouette non aucune :(

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • AlouetteA Hors-ligne
                                Alouette
                                dernière édition par

                                @Marne est-ce qu'on renvoie un mail de pression à la préfecture ? En mode "vu qu'on n'a pas de nouvelles, on va devoir saisir la CADA ? Ou on la saisit directe ?
                                Il me semble que vu que la prefecture aurait du nous répondre avant le 3 janvier, on n'a plus qu'un mois (3mars) pour faire ça?

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                • MarneM Hors-ligne
                                  Marne
                                  dernière édition par Marne

                                  Pas bête @Alouette ! ça coute rien d'essayer

                                  Edit : relance envoyée

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                  • R Hors-ligne
                                    Rachl.dlp
                                    dernière édition par

                                    @Alouette @Marne J'ai saisi la CADA de mon côté en l'absence de retour.

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                    • AlouetteA Hors-ligne
                                      Alouette
                                      dernière édition par

                                      Au top ! Parce quela préf avait visiblement pas très envie de répondre...

                                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                      • AlouetteA Hors-ligne
                                        Alouette
                                        dernière édition par

                                        Est-ce que quelqu'un.e aurait accès à cet article ? Merci !

                                        https://www.ouest-france.fr/elections/municipales/rennes-au-centre-de-supervision-urbaine-les-cameras-traquent-les-delinquants-6747300

                                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                        • G Hors-ligne
                                          gmmt
                                          dernière édition par

                                          Bonsoir, voici l'article:
                                          Les caméras de vidéoprotection traquent les délinquants
                                          Ouest France (Rennes Est)22 Feb 2020Reportage Angélique CLÉRET.

                                          Huit écrans diffusent en continu les images des 36 caméras positionnées dans l’espace urbain. Leur nombre augmentera cette année.

                                          Un adolescent va et vient, sur la dalle Kennedy, à Villejean, avec un groupe de copains. Dans sa main, il tient la réplique d’une arme Airsoft©. Il la lève, joue avec au moment où une mère et son enfant passent, à proximité du supermarché. La petite fille a peur. Sa mère presse le pas, en la tenant fermement par le bras.

                                          La scène est visionnée au centre de supervision urbaine, sur un écran, par un policier municipal. Elle se déroule sous l’une des 36 caméras de vidéoprotection installées dans la ville de Rennes, sur la voie publique, après autorisation préfectorale.

                                          Les premières sont apparues en 2010, places Sainte-Anne et Saint-Michel et au centre commercial Le Gast, à Maurepas. À cette période, le climat politique est traversé par la question de la sécurité. Le plan vidéoprotection lancé par le président Nicolas Sarkozy prévoit de tripler le nombre de caméras, en France. Dans le même temps, la terminologie évolue : la vidéosurveillance devient la vidéoprotection.

                                          Un comité d’éthique

                                          À Rennes, dans une ville gouvernée par la gauche, un débat politique s’installe « entre les partisans qui voient là une baguette magique » et les opposants qui s’inquiètent de son usage et « dénoncent une atteinte aux libertés et au droit à l’image », rappelle Hubert Chardonnet, adjoint au personnel et à la sécurité. La municipalité fait appel aux conseils du sociologue Éric Heilmann, l’un des spécialistes français de la vidéosurveillance. Et se dote d’un comité d’éthique, qui se réunit régulièrement, les premiers temps.

                                          Sur la dalle Kennedy, le jeune homme continue à agiter son arme factice. Le policier municipal signale les faits à son collègue opérateur radio. Une patrouille de police est envoyée sur place. À son arrivée, l’adolescent disparaît dans les couloirs d’un immeuble. Il en ressort… dès que la voiture des forces de l’ordre est repartie.

                                          À l’intérieur du palais Saint-Georges, dans le centre névralgique du réseau de vidéoprotection, auquel nul n’accède sans badge, les policiers municipaux voient réapparaître le jeune homme, la réplique d’arme à la main. Huit écrans diffusent en continu les images des différentes caméras, de la place de la Mairie à la dalle du Colombier, en passant par le centre commercial Italie.

                                          Aide aux policiers

                                          Installées sur la voie publique, elles ne filment pas les logements, afin de ne pas porter atteinte à la vie privée des personnes. « Les vidéos sont conservées pendant quinze jours », précisent Gildas Le Guernigou, directeur de la tranquillité publique, et Maurice Le Sénéchal, chef de service de la police municipale. Elles ne peuvent être visionnées que sur requête d’un procureur ou d’un officier de police judiciaire (OPJ).

                                          Il n’est pas avéré que le taux d’élucidation des faits de délinquance de proximité progresse grâce à la vidéosurveillance. Pour Hubert Chardonnet, « le rapport entre le coût, important, et le résultat, avec une efficacité qui reste à prouver, est disproportionné ». Les caméras seraient toutefois une aide utile aux policiers, dans leurs missions d’intervention. « C’est un appui, pour les équipes de terrain », formule Maurice Le Sénéchal.

                                          Ces prochains mois, Rennes devrait en poser une dizaine d’autres, aux abords des futures stations de métro Gros-Chêne et Saint-Germain, à la gare, place de La Trinité… Pour rassurer la population, en luttant contre le sentiment d’insécurité. Selon un classement réalisé par La Gazette des communes, à partir d’informations recueillies dans les médias et auprès des mairies, on compte plus de 11 470 caméras, fin 2019, dans 47 communes les plus peuplées de France. Nice (Alpes-Maritimes) reste la plus couverte, avec plus de 2 600 caméras pour 346 000 habitants. La vidéosurveillance s’est massivement déployée dans l’Ouest, depuis 2013. Pour exemple, SaintMalo (47 670 habitants) comptait 65 caméras à l’été 2019. À Laval (48 900 habitants ), 39 caméras scrutaient les rues à la même période. À Flers (14 458 habitants), la commune avait installé 46 caméras.

                                          C’est en euros le montant de l’investissement pour l’achat, l’implantation et les travaux de génie civil, auxquels s’ajoutent 75 000 € pour la création du centre de supervision urbaine, au cours du mandat de Daniel Delaveau. Puis, 440 000 € pour les nouvelles caméras et 205 000 € de mise à niveau du système, au cours du mandat de Nathalie Appéré. L’État avait financé 50 % de l’investissement, entre 2008-2014, moins pour la suite.

                                          PS: Si vous êtes inscrits à la bibliothèque des champs libres, il est possible d'avoir accès à ces articles gratuitement.

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                                          • AlouetteA Hors-ligne
                                            Alouette
                                            dernière édition par

                                            @gmmt merci ! :)

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