VSA : nouvelle société VaubanAI fév2025 vend des produits sous marque Orasio
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VaubanAI : une start-up qui veut améliorer la sécurité publique et privée avec des solutions à base d'IA - les statuts ont été déposés en février 2025.
https://www.lesechos.fr/start-up/ecosysteme/la-mafia-payfit-nouvelle-force-montante-de-la-french-tech-2157170La marque Orasio est la propriété de la société VaubanAI, société par actions simplifiées, au capital de 5 000 euros
https://www.orasio.com/mentions-legalesOrasio tire son nom du terme grec “orasi”, signifiant “vision”
https://www.businesseconomies.fr/2025/05/14/orasio-en-2025-la-startup-de-la-french-tech-qui-revolutionne-la-videosurveillance-par-lia/Le marché de la vidéosurveillance algorithmique, évalué à 700 milliards de dollars mondialement, croît de 20 % par an. Il attire les investisseurs.
Les acheteurs :
les acteurs de la défense et de la sécurité intérieure, les collectivités territoriales et les entreprises privéesQuels courants politiques prennent en compte les libertés numériques ?
Les insoumis et les écologistes, ou des associations comme La Quadrature du Net, mettent en garde contre les dangers pour les libertés numériques. En revanche, ce type de solution à base d'IA séduit la droite et l'extrême droite.
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a confié récemment être favorable à la reconnaissance faciale, une technologie très développée en Chine ou dans le Golfe, mais jamais testée en France jusqu'à présent.Le produit :
La solution s'intègre aux caméras de surveillance ou aux serveurs (des clients directement ou sur le cloud) et envoie des alertes en cas de problème. Elle aide aussi à analyser plus vite des heures de rushs. Le premier produit, disponible cet été, sera fourni aux militaires. " Il n'y a aucun branchement avec des systèmes d'armement".
https://www.lesechos.fr/start-up/ecosysteme/les-start-up-de-la-french-tech-bousculent-le-marche-de-la-videosurveillance-algorithmique-2165053Des clients ont testé, phase pilote, ou ont acheté:
La technologie d’Orasio est déjà expérimentée sur le terrain. La ville de Lyon, qui figure parmi les premiers clients pilotes, aurait constaté une diminution de 35 % des actes de malveillance sur son réseau de transport depuis le déploiement de la solution.
https://lessentieldeleco.fr/2237-orasio-ia-video/Anecdote : Lors d’un exercice militaire en 2025, un officier utilise la solution d’Orasio pour analyser des vidéos de drones, détectant un véhicule suspect en 10 secondes, contre plusieurs minutes avec des outils traditionnels.
Exemple concret : Une ville française équipe son centre de supervision urbaine avec Orasio, identifiant un départ de feu dans un parc en 2 minutes, permettant une intervention rapide des pompiers et évitant des dégâts estimés à 500 000 € (Orasio, 2025).
Anecdote : Un aéroport régional, confronté à une intrusion de drone, utilise Orasio pour détecter l’appareil en 3 minutes, neutralisant la menace avant tout incident.
Exemple concret : Une entreprise exploitant un stade déploie Orasio pour surveiller une foule de 50 000 spectateurs, repérant un mouvement de panique en 15 secondes, permettant une évacuation ordonnée (Orasio, 2025).
Anecdote : Une collectivité, hésitant entre Orasio et une solution chinoise, choisit Orasio pour sa conformité au RGPD, évitant des amendes potentielles de 1 million d hatha yoga’euros.
Exemple concret : Orasio remporte un contrat avec une gendarmerie, analysant 100 000 heures de vidéos pour identifier des suspects, surpassant un concurrent américain en précision (Orasio, 2025).
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@kanopai
Des copies d'écran du site https://www.orasio.comnum1
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num3
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@kanopai voici des articles
Les start-up de la French Tech bousculent le marché de la vidéosurveillance algorithmique
Dirigée par l'un des cofondateurs de PayFit, la jeune pousse française Orasio vient de lever 16 millions d'euros en amorçage. Elle veut travailler avec les acteurs de la défense, les entreprises et les collectivités territoriales.
Par Adrien Lelièvre
Publié le 14 mai 2025 à 10:00Mis à jour le 14 mai 2025 à 11:10Huit ans après sa sortie de Polytechnique, une école d'ingénieurs où les élèves ont le statut d'officier, Florian Fournier renoue (en partie) avec le monde militaire. L'ancien directeur du produit de PayFit a lancé Orasio, une start-up de vidéosurveillance algorithmique, qui vient de lever 16 millions d'euros.
Comme nous l'avions révélé en mars, le fonds Frst fait partie de ses investisseurs, aux côtés de l'allemand Global Founders Capital (GFC) et du polonais Expeditions Fund. Il s'agit de l'un des plus gros tours de table en amorçage en 2025 dans la French Tech.
Orasio coche beaucoup de cases à la mode : la start-up est dirigée par un cofondateur d'une licorne - un profil chéri par les investisseurs -, fait de l'intelligence artificielle et arrive dans un contexte où les enjeux de sécurité et de souveraineté sont au coeur des débats politiques et économiques.
« Notre ambition est de devenir le leader européen de la vidéo-intelligence, en proposant une solution qui puisse concurrencer, d'un point de vue technologique et commercial, les meilleures solutions mondiales », glisse Florian Fournier. A ce stade, ces dernières sont chinoises, américaines ou israéliennes.
La défense pour commencerDans le détail, Orasio permet d'analyser en temps réel ou a posteriori des situations complexes dans des flux vidéo. « Nous faisons cela pour trois types d'acteurs : les acteurs de la défense et de la sécurité intérieure, les collectivités territoriales et les entreprises privées », liste Florian Fournier, qui a fondé la société avec Arnaud Delaunay (ex-FarmWise) et Fabio Gennari, un ancien maître des requêtes au Conseil d'Etat.
La solution s'intègre aux caméras de surveillance ou aux serveurs (des clients directement ou sur le cloud) et envoie des alertes en cas de problème. Elle aide aussi à analyser plus vite des heures de rushs. Le premier produit, disponible cet été, sera fourni aux militaires. « Il n'y a aucun branchement avec des systèmes d'armement », précise Florian Fournier. Dans la French Tech, la start-up d'IA Alta Ares permet, par exemple, d'analyser les vidéos filmées par les drones sur le champ de bataille.
Ces dernières années, les villes françaises se sont massivement équipées de systèmes de vidéoprotection sur la voie publique. L'objectif ? Prévenir des actes de terrorisme ou des atteintes à la sécurité des personnes et des biens.
En volume, il y a toutefois beaucoup plus de caméras installées dans les immeubles, les bureaux, les entrepôts ou les commerces. Une aubaine pour les start-up d'IA : Veesion travaille avec Intermarché, Intersport et la FNAC ; XXII fournit sa solution à Avia, La Poste et CMA CGM.
Une expérimentation contrastée pendant les JOEn prévision des JO 2024 à Paris, l'Etat a expérimenté la surveillance algorithmique en temps réel. Les start-up françaises Wintics, Videtics - récemment racheté par le groupe suisse Technis - et Chapsvision avaient raflé des contrats, aux côtés d'Orange Business Services.
Un comité public a dressé un bilan de ce test qui s'est achevé en mars 2025. Il pointait « des performances techniques inégales » en fonction des opérateurs, des cas d'usage et des contextes d'utilisation. Le rapport signalait par exemple un nombre significatif de « faux positifs » pour des objets délaissés. Mais il relevait aussi que la vidéosurveillance algorithmique était efficace pour détecter des intrusions d'individus ou de véhicules dans des zones non autorisées. « Si on ne teste pas, comment voulez-vous qu'on améliore les produits ? » commente un acteur du secteur.
« Nous avons la chance d'arriver à un moment où, d'un point de vue technologique, il y a eu énormément d'innovations qui ont été faites ces deux dernières années. On peut directement bâtir notre solution en bénéficiant de modèles multimodaux hyperperformants », rappelle Florian Fournier.
Un cadre réglementaire à respecterPour certaines utilisations, comme la détection en temps réel, l'entrepreneur n'aura pas les mains libres. En avril, le Conseil constitutionnel a censuré la prolongation de la vidéosurveillance algorithmique jusqu'en 2027, qui était voulue par le gouvernement. A ce stade, cette technologie divise la classe politique. Les insoumis et les écologistes, ou des associations comme La Quadrature du Net, mettent en garde contre les dangers pour les libertés numériques.
En revanche, ce type de solution à base d'IA séduit la droite et l'extrême droite. Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a confié récemment être favorable à la reconnaissance faciale, une technologie très développée en Chine ou dans le Golfe, mais jamais testée en France jusqu'à présent.
« Techniquement, c'est faisable pour nous de le faire. Mais dans l'UE, très peu de pays ont fait le choix d'y avoir recours. Nous respectons et nous nous adaptons à leurs choix », commente Florian Fournier. Dans tous les cas, les acteurs de la French Tech doivent se plier à deux règlements européens : le RGPD et l'IA Act. Faute de quoi, ils s'exposent à des sanctions.
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@kanopai
Orasio, l’IA vidéo souveraine made in France
Publié le 23 mai 2025 à 11h10·Laura Picard Rédigé par Laura PicardSécurité, souveraineté et innovation : Orasio veut révolutionner la vidéosurveillance avec une technologie 100 % européenne et conforme à l’AI Act
Alors que les solutions de vidéosurveillance intelligente sont massivement importées de pays tiers, une jeune pousse française s’impose comme une alternative européenne. Orasio entend reprendre le contrôle d’un secteur aussi stratégique que sensible.
Une ambition au service de l’indépendance européenneOrasio fait figure d’exception dans le marché hyper concurrentiel de la vidéo-intelligence dominé par les géants américains, chinois et israéliens. Fondée début 2025, la start-up parisienne ambitionne de sécuriser les données critiques européennes tout en respectant les régulations du continent, notamment le RGPD et le futur AI Act. Elle développe des solutions d’intelligence artificielle capables d’analyser les flux vidéo en temps réel, à destination des forces de sécurité, des collectivités locales et des entreprises privées.
La jeune société s’est rapidement distinguée en réunissant 16 millions d’euros en amorçage auprès de trois fonds européens : Frst (France), Global Founders Capital (Allemagne) et Expeditions Fund (Pologne). Pour ses dirigeants, cette dynamique illustre l’intérêt croissant des investisseurs pour des solutions technologiques souveraines conçues en Europe.
Un trio fondateur à l’expertise transversaleÀ l’origine du projet, trois cofondateurs aux profils complémentaires. Florian Fournier, polytechnicien et ancien cofondateur de la licorne PayFit, a choisi de quitter l’univers des RH pour se consacrer à un projet technologique à fort impact sociétal. Il explique avoir voulu relever un défi structurant, dans un secteur crucial pour la résilience des sociétés européennes.
Arnaud Delaunay, ingénieur formé à l’X et passé par la robotique agricole chez FarmWise, pilote le développement technologique. Il apporte une connaissance approfondie des systèmes IA déployés en environnements contraints et conçoit des algorithmes capables de fonctionner sur des réseaux edge, avec une latence inférieure à 500 millisecondes. Son expérience dans le secteur bancaire l’a également sensibilisé à l’importance de modèles économiques robustes.
Quant à Fabio Gennari, ancien maître des requêtes au Conseil d’État et ex-conseiller ministériel, il veille à la conformité réglementaire des solutions. Il considère que la connaissance fine des mécanismes juridiques français et européens est indispensable pour anticiper les évolutions législatives à venir, en particulier concernant l’usage des caméras intelligentes dans l’espace public. Il précise que la technologie d’Orasio a été pensée dès le départ selon le principe de privacy by design.
Flexibilité et souverainetéLa plateforme développée par Orasio repose sur une architecture modulaire en trois couches. La première, dédiée à la perception visuelle, s’appuie sur des réseaux de neurones convolutifs capables de détecter des anomalies comportementales, des objets abandonnés ou des mouvements de foule. La seconde, sémantique, permet d’effectuer des requêtes complexes en langage naturel, à l’aide de modèles de type transformeur. L’utilisateur peut ainsi retrouver, par exemple, toutes les personnes portant un sac rouge dans une zone donnée sur une période précise.
Enfin, la couche de déploiement est conçue pour une compatibilité maximale : elle fonctionne aussi bien sur cloud souverain, sur infrastructure locale (on-premise) que sur edge computing, via des appliances certifiées par l’ANSSI. Cette flexibilité permet une intégration transparente avec les systèmes existants des clients, qu’ils relèvent du secteur public ou militaire.
Des cas d’usage concrets et mesurablesLa technologie d’Orasio est déjà expérimentée sur le terrain. La ville de Lyon, qui figure parmi les premiers clients pilotes, aurait constaté une diminution de 35 % des actes de malveillance sur son réseau de transport depuis le déploiement de la solution.
Parmi les cas d’usage identifiés figurent la surveillance d’infrastructures critiques (comme la détection de départs de feu dans les centres de données ou d’activités suspectes dans les ports), la sécurité événementielle (analyse en direct des flux vidéo dans les stades pour prévenir les mouvements de foule) et l’investigation judiciaire (réduction de 90 % du temps nécessaire à l’analyse d’archives vidéo, grâce à la recherche sémantique automatisée). Les premiers tests ont permis d’atteindre un taux de faux positifs inférieur à 0,1 %, selon les données internes de l’entreprise.
Une réponse alignée avec les priorités stratégiques de l’UELe développement d’Orasio s’inscrit dans un contexte géopolitique tendu autour de la souveraineté technologique. En 2023, le marché mondial de l’IA vidéo était estimé à 551,7 millions de dollars. Il pourrait atteindre près de 3 milliards d’ici 2033. Pourtant, 85 % des solutions actuellement déployées en Europe sont issues de fournisseurs non-européens : Palantir et Verkada aux États-Unis, Hikvision et Dahua en Chine, BriefCam et AnyVision en Israël.
Ces technologies, bien qu’efficaces, posent plusieurs problèmes : des vulnérabilités possibles (comme des portes dérobées dans les firmwares), des non-conformités au RGPD, et des biais algorithmiques difficilement auditables. Orasio se présente comme une alternative crédible, alignée avec les objectifs du plan France 2030, qui consacre 54 milliards d’euros à la souveraineté technologique, et en phase avec le cadre réglementaire en construction autour de l’AI Act.
Les investisseurs qui soutiennent la start-up illustrent cette logique de coopération transfrontalière, à l’image d’un capital paneuropéen engagé dans la sécurisation des données sensibles.
Roadmap : scalabilité, R&D et défis d’acceptabilitéOrasio prévoit une montée en puissance rapide. La feuille de route 2025–2026 prévoit notamment des tests en conditions réelles avec l’armée de Terre dès juin 2025, une intégration au système de vidéoprotection de la ville de Paris à l’automne, puis le lancement d’une offre SaaS souveraine — baptisée Orasio Cloud — certifiée SecNumCloud au premier trimestre 2026.
L’entreprise prévoit de faire passer ses effectifs de 7 à 50 collaborateurs d’ici fin 2026. Les recrutements se concentreront sur les ingénieurs en MLops, les spécialistes en vision par ordinateur, les experts en cybersécurité industrielle et les juristes en droit du numérique. Le budget R&D, qui atteindra 12 millions d’euros sur deux ans, servira notamment à développer des puces dédiées à l’inférence vidéo, en partenariat avec le CEA-Leti.
Les dirigeants d’Orasio sont toutefois conscients que l’acceptabilité sociale des caméras intelligentes reste un sujet sensible. Ils misent sur une approche fondée sur la transparence algorithmique, la traçabilité des décisions et un dialogue ouvert avec les autorités publiques pour éviter les dérives.
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Savoir & Finance mai 14, 202>5
Orasio en 2025 : La Startup de la French Tech qui Révolutionne la Vidéosurveillance par l’IAEn 2025, Orasio, une jeune pousse de la French Tech, s’impose comme un acteur prometteur dans la vidéosurveillance algorithmique, portée par une levée de fonds de 16 millions d’euros en amorçage (Maddyness, 14 mai 2025). Fondée par Florian Fournier, ancien cofondateur de la licorne PayFit, Orasio développe des solutions d’intelligence artificielle (IA) pour analyser en temps réel des flux vidéo, ciblant la défense, les collectivités territoriales, et les entreprises. Cet article explore les innovations d’Orasio, son positionnement dans un marché en pleine expansion, et ses perspectives, à travers des anecdotes et des exemples concrets.
Orasio : Une Vision née de la French Tech
Lancée début 2025 à Paris, Orasio tire son nom du terme grec “orasi”, signifiant “vision”, symbolisant son ambition de transformer la surveillance vidéo par l’IA (Maddyness). Dirigée par Florian Fournier, polytechnicien et ex-directeur produit de PayFit, la startup réunit Arnaud Delaunay (ex-FarmWise) et Fabio Gennari (ex-Conseil d’État), tous issus de formations prestigieuses (Les Echos, 14 mai 2025). Leur solution analyse des flux vidéo pour détecter automatiquement des événements critiques, comme des départs de feu, des mouvements de foule, ou des comportements suspects, avec une précision de 95 % (Orasio, 2025). “Notre objectif est de devenir le leader européen de la vidéo-intelligence,” déclare Fournier (Maddyness). Testée lors des JO 2024 en France, la technologie d’Orasio attire déjà l’attention des investisseurs européens (Les Echos).
Anecdote : Lors d’un exercice militaire en 2025, un officier utilise la solution d’Orasio pour analyser des vidéos de drones, détectant un véhicule suspect en 10 secondes, contre plusieurs minutes avec des outils traditionnels.
Exemple concret : Une ville française équipe son centre de supervision urbaine avec Orasio, identifiant un départ de feu dans un parc en 2 minutes, permettant une intervention rapide des pompiers et évitant des dégâts estimés à 500 000 € (Orasio, 2025).
Source : Maddyness, Levée de Fonds, Les Echos, Vidéosurveillance, X Post, @bymaddyness
Une Technologie au Service de la Défense et de la Sécurité
Orasio se positionne sur trois marchés stratégiques : la défense et sécurité intérieure, les collectivités territoriales, et les entreprises privées (Les Echos). Sa technologie, basée sur des algorithmes de “computer vision”, analyse en temps réel ou a posteriori des situations complexes, comme des intrusions dans des ports ou des comportements anormaux dans des gares. Environ 95 % des grandes villes françaises utilisent des systèmes de vidéoprotection, un marché en croissance de 15 % par an (Challenges, 27 mars 2025). Orasio se distingue par sa capacité à fonctionner sans connexion internet, un atout pour les environnements militaires sensibles (Intelligence Online, 12 juin 2024).
Anecdote : Un aéroport régional, confronté à une intrusion de drone, utilise Orasio pour détecter l’appareil en 3 minutes, neutralisant la menace avant tout incident.
Exemple concret : Une entreprise exploitant un stade déploie Orasio pour surveiller une foule de 50 000 spectateurs, repérant un mouvement de panique en 15 secondes, permettant une évacuation ordonnée (Orasio, 2025).
Source : Challenges, Marché Sécurité, Intelligence Online, Orasio
Une Levée de Fonds Historique
En mai 2025, Orasio annonce une levée de 16 millions d’euros, l’un des plus gros tours d’amorçage de la French Tech cette année (Maddyness). Menée par le fonds français Frst (plus d’un tiers des capitaux), l’opération inclut Global Founders Capital (Allemagne) et Expeditions Fund (Pologne), spécialisé en défense et cybersécurité (Les Echos). “Nous avons choisi des investisseurs européens pour ancrer notre projet dans une dynamique continentale,” explique Fournier (Maddyness). Les fonds financent le développement technologique, le recrutement de profils seniors en computer vision (objectif : 20 collaborateurs d’ici fin 2025), et la commercialisation à l’échelle européenne (X Post, @JKhaski).
Anecdote : Un investisseur, séduit par le parcours de Fournier chez PayFit, mise 2 millions d’euros sur Orasio, convaincu par sa vision de souveraineté technologique.
Exemple concret : Orasio investit 5 millions d’euros dans ses algorithmes, réduisant le temps d’analyse vidéo de 30 %, renforçant sa compétitivité face aux solutions chinoises et américaines (Maddyness).
Source : Maddyness, Levée de Fonds, X Post, @JKhaski
Concurrents et Positionnement
Orasio évolue dans un marché concurrentiel dominé par des acteurs chinois (Hikvision), américains (Palantir), et israéliens (BriefCam). En France, des startups comme Alta Ares, avec son IA pour drones, et XXII, spécialisée en vision par ordinateur, challengent Orasio (Tracxn, 10 avril 2025). Alta Ares se concentre sur les applications militaires dynamiques, tandis que XXII cible les smart cities. Orasio se différencie par sa polyvalence (défense, collectivités, entreprises) et son approche souveraine, évitant les dépendances technologiques étrangères (Les Echos). “Nous concurrençons les leaders mondiaux tout en respectant les normes européennes,” affirme Fournier (Challenges).
Anecdote : Une collectivité, hésitant entre Orasio et une solution chinoise, choisit Orasio pour sa conformité au RGPD, évitant des amendes potentielles de 1 million d hatha yoga’euros.
Exemple concret : Orasio remporte un contrat avec une gendarmerie, analysant 100 000 heures de vidéos pour identifier des suspects, surpassant un concurrent américain en précision (Orasio, 2025).
Source : Tracxn, Startups IA, Challenges, Concurrence
Opportunités d’Investissement : Un Marché en Plein Essor
Le marché de la vidéosurveillance algorithmique, évalué à 700 milliards de dollars mondialement, croît de 20 % par an (Les Echos). Orasio attire les investisseurs grâce à son équipe (cofondateur d’une licorne), son positionnement (sécurité, souveraineté), et un contexte géopolitique favorable, marqué par la guerre en Ukraine et les débats sur l’autonomie européenne (Maddyness). Les fonds tech, comme ceux soutenant Orasio, offrent des rendements de 7-10 %, séduisant les investisseurs (X Post, @EuodiaFinance, 6 mai 2025). Une future levée en Série A, prévue pour 2026, pourrait valoriser Orasio à 100 millions d’euros (Intelligence Online).
Anecdote : Un fonds polonais, motivé par la présence d’Expeditions Fund, investit 3 millions d’euros dans Orasio, anticipant son expansion en Europe de l’Est.
Exemple concret : **Un investisseur place 50 000 € dans un fonds soutenant Orasio, générant 4 000 € de rendements annuels, porté par la croissance du marché de la sécurité (**Les Echos).
Source : Les Echos, Marché Vidéosurveillance, X Post, @EuodiaFinance
Défis : Réglementation et Échelle
La réglementation européenne, notamment le RGPD et la loi sur l’IA, impose des contraintes strictes. Orasio investit 2 millions d’euros pour certifier ses algorithmes, un défi face aux concurrents chinois, moins régulés (Challenges). Avec 8 collaborateurs, la startup doit scaler rapidement pour rivaliser avec des acteurs comme Hikvision (10 000 employés) (Tracxn). La dépendance aux financements européens limite également ses ressources face aux géants américains (Intelligence Online).
Anecdote : Orasio retarde un contrat avec une ville à cause de vérifications RGPD, permettant à un concurrent israélien de gagner du terrain.
Exemple concret : Orasio recrute 5 ingénieurs seniors pour accélérer le développement, mais la pénurie de talents en computer vision freine son expansion (Maddyness).
Source : Challenges, Réglementation, Tracxn, Effectifs
Perspectives : Vers un Leadership Européen
En 2025, Orasio ambitionne de déployer ses solutions dans 10 pays européens, portée par des partenariats avec des armées, des polices, et des entreprises (Les Echos). La French Tech, avec 200 startups en IA, soutient cet élan, mais la concurrence mondiale et les besoins en capitaux restent des enjeux (Tracxn). “Orasio incarne la souveraineté technologique européenne,” note un investisseur (X Post, @bymaddyness). Pour en savoir plus, consulter lesechos.fr, maddyness.com, ou orasio.com.